Jim VAN OS

{"item_0":{"type":"text","value":"\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EPr\u00e9sident de la division Neuroscience du Centre m\u00e9dical universitaire d'Utrecht\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003ELe professeur Jim van Os est professeur de psychiatrie et pr\u00e9sident de la division des neurosciences du centre m\u00e9dical universitaire d'Utrecht. Il est \u00e9galement professeur invit\u00e9 d'\u00e9pid\u00e9miologie psychiatrique au King's College de Londres.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EIl est membre de l'Acad\u00e9mie royale n\u00e9erlandaise des arts et des sciences (KNAW) depuis 2011 et a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 Fellow du Kings College de Londres en 2016.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EVan Os figure sur la liste Thomson-Reuter Web of Science des \u0022esprits scientifiques les plus influents de notre temps\u0022 ; depuis 2014.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EIl travaille \u00e0 l'interface des neurosciences critiques, de la recherche sur les services de sant\u00e9, de l'art et de la culture. exp\u00e9riences subjectives des personnes ayant une \u0022exp\u00e9rience v\u00e9cue\u0022 ; dans les soins de sant\u00e9 mentale.\u003C\/p\u003E","backgroundColor":"#ffffff","online":0,"param_selector":"#view-params","paddingTop":"0","paddingBottom":"0","paddingLeft":"0","paddingRight":"0","sectionColor":"transparent","section-id":"","editor":""},"item_1":{"type":"text","value":"\u003Cp\u003E\u003Cstrong\u003EJim van Os\u003C\/strong\u003E est professeur de psychiatrie et pr\u00e9sident de la division du cerveau du centre m\u00e9dical universitaire d'Utrecht. Il est \u00e9galement professeur invit\u00e9 d'\u00e9pid\u00e9miologie psychiatrique \u00e0 l'Institut de psychiatrie du King's College de Londres.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EJim van Os a plus de 30 ans d'exp\u00e9rience clinique dans le traitement des troubles mentaux. Il a travaill\u00e9 comme chef de service et chef de division au centre m\u00e9dical universitaire de Maastricht avant de rejoindre le centre m\u00e9dical universitaire d'Utrecht aux Pays-Bas.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EDans le domaine de l'\u00e9pid\u00e9miologie clinique et de la sant\u00e9 mentale publique, il fait partie d'un mouvement international qui initie des transformations bas\u00e9es sur une mani\u00e8re diff\u00e9rente de travailler (orient\u00e9e vers le r\u00e9tablissement) et une mani\u00e8re diff\u00e9rente de consid\u00e9rer la souffrance mentale (de l'orientation vers la maladie \u00e0 l'orientation vers la diversit\u00e9). Il travaille \u00e0 l'intersection de la science \u0022dure\u0022 du cerveau, de la recherche sur les soins de sant\u00e9, de l'art et des exp\u00e9riences subjectives des personnes ayant une \u0022exp\u00e9rience v\u00e9cue\u0022 de la sant\u00e9 mentale.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EM. Van Os a \u00e9t\u00e9 membre du groupe de travail sur la psychose du DSM-5 de l'American Psychiatric Association et coordinateur du projet europ\u00e9en EUGEI du 7e PC, une subvention de 12 millions d'euros destin\u00e9e \u00e0 \u00e9tudier l'impact de l'environnement social sur la psychose. Il est membre de l'Acad\u00e9mie royale n\u00e9erlandaise des arts et des sciences (KNAW) depuis 2011 et a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 Fellow du King's College de Londres en 2016. Van Os figure depuis 2014 sur la liste Thomson-Reuter Web of Science des \u0022esprits scientifiques les plus influents de notre temps\u0022.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EIl est membre du comit\u00e9 de r\u00e9daction de nombreuses revues scientifiques europ\u00e9ennes et am\u00e9ricaines telles que Acta Psychiatrica Scandinavica, European Psychiatry, Psychological Medicine, Schizophrenia Research, Schizophrenia Bulletin, Early Intervention in Psychiatry, Epidemiology and Psychiatric Sciences, Psychosis Journal, The Journal of Mental Health et le Journal of Psychiatry and Neurological Sciences. Il est \u00e9galement r\u00e9dacteur acad\u00e9mique \u00e0 PLoSONE.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003EDans We Are Not God, publie en 2021, il pr\u00e9sente une nouvelle perspective sur la souffrance mentale, le diagnostic et le traitement. Le point de d\u00e9part est que ce n'est pas le soignant qui d\u00e9tient la v\u00e9rit\u00e9, mais qu'elle est trouv\u00e9e dans une coop\u00e9ration conjointe avec la personne qui cherche de l'aide.\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u00ab Dans notre soci\u00e9t\u00e9, l'histoire de la psychose reste non \u00e9crite. Quiconque cherche des informations fiables se retrouve dans un m\u00e9lange confus de charabia biom\u00e9dical (non prouv\u00e9) et de toutes sortes de pr\u00e9tendues th\u00e9ories sur son origine et sa nature. Il existe toutes sortes de diagnostics et de directives de traitement dont on ne sait pas tr\u00e8s bien ce qu'ils peuvent signifier pour la personne et s'ils repr\u00e9sentent des connaissances r\u00e9elles ou s'ils sont davantage le reflet de la culture des professions acad\u00e9miques (psychiatres et psychologues) dans le secteur de la sant\u00e9 mentale. L'histoire de l'exp\u00e9rience elle-m\u00eame est absente ou reste sous-expos\u00e9e. La question de savoir comment comprendre la psychose en tant que dimension de la variation mentale normale n'est pas abord\u00e9e. \u00bb\u003C\/p\u003E\u003Cp\u003E\u003Cbr\u003E\u003C\/p\u003E","backgroundColor":"#ffffff","online":1,"param_selector":"#view-params","paddingTop":"0","paddingBottom":"0","paddingLeft":"0","paddingRight":"0","sectionColor":"transparent","section-id":"","editor":""}}